La corrélation généralement observée entre niveau d'études et salaires a incité les économistes à analyser l'éducation comme un investissement en capital humain. En s'appuyant sur des statistiques récentes, cet ouvrage met en évidence la faiblesse du gain salarial apporté par une thèse. Le recours à une approche sociologique permet de comprendre le choix d'entreprendre un doctorat. Lié le plus souvent à la volonté d'intégrer le monde académique, ce choix apparaît dicté par une rationalité distincte de la rationalité économique dominante.
La corrélation généralement observée entre niveau d'études et salaires a incité les économistes à analyser l'éducation comme un investissement en capital humain. En s'appuyant sur des statistiques récentes, cet ouvrage met en évidence la faiblesse du gain salarial apporté par une thèse. Le recours à une approche sociologique permet de comprendre le choix d'entreprendre un doctorat. Lié le plus souvent à la volonté d'intégrer le monde académique, ce choix apparaît dicté par une rationalité distincte de la rationalité économique dominante.