«La philosophie du Moyen-Âge» d'Émile Bréhier reste, malgré les années qui passent, l'ouvrage phare pour une introduction à la connaissance telle qu'on la concevait et la pratiquait durant ces neuf siècles qui vont de Boèce à Maître Eckhart, en passant par les Jean Scot, Anselme, Avicenne, Averroès, Bonaventure, Thomas d'Aquin, d'Occam... Présenter tous ces maîtres à penser d'une manière succincte, sans pour autant sombrer dans la simple encyclopédie superficielle, c'est-à-dire notamment en exprimant et en pénétrant un certain «esprit» qui régnera durant toute cette période et par rapport auquel se définissent, d'une manière ou d'une autre, tous ces maîtres, est une tâche que peu de spécialistes actuels oseraient entreprendre. L'ouvrage de Bréhier n'en est que plus précieux pour nous.
«La philosophie du Moyen-Âge» d'Émile Bréhier reste, malgré les années qui passent, l'ouvrage phare pour une introduction à la connaissance telle qu'on la concevait et la pratiquait durant ces neuf siècles qui vont de Boèce à Maître Eckhart, en passant par les Jean Scot, Anselme, Avicenne, Averroès, Bonaventure, Thomas d'Aquin, d'Occam... Présenter tous ces maîtres à penser d'une manière succincte, sans pour autant sombrer dans la simple encyclopédie superficielle, c'est-à-dire notamment en exprimant et en pénétrant un certain «esprit» qui régnera durant toute cette période et par rapport auquel se définissent, d'une manière ou d'une autre, tous ces maîtres, est une tâche que peu de spécialistes actuels oseraient entreprendre. L'ouvrage de Bréhier n'en est que plus précieux pour nous.
«La philosophie du Moyen-Âge» d'Émile Bréhier reste, malgré les années qui passent, l'ouvrage phare pour une introduction à la connaissance telle qu'on la concevait et la pratiquait durant ces neuf siècles qui vont de Boèce à Maître Eckhart, en passant par les Jean Scot, Anselme, Avicenne, Averroès, Bonaventure, Thomas d'Aquin, d'Occam... Présenter tous ces maîtres à penser d'une manière succincte, sans pour autant sombrer dans la simple encyclopédie superficielle, c'est-à-dire notamment en exprimant et en pénétrant un certain «esprit» qui régnera durant toute cette période et par rapport auquel se définissent, d'une manière ou d'une autre, tous ces maîtres, est une tâche que peu de spécialistes actuels oseraient entreprendre. L'ouvrage de Bréhier n'en est que plus précieux pour nous.
«La philosophie du Moyen-Âge» d'Émile Bréhier reste, malgré les années qui passent, l'ouvrage phare pour une introduction à la connaissance telle qu'on la concevait et la pratiquait durant ces neuf siècles qui vont de Boèce à Maître Eckhart, en passant par les Jean Scot, Anselme, Avicenne, Averroès, Bonaventure, Thomas d'Aquin, d'Occam... Présenter tous ces maîtres à penser d'une manière succincte, sans pour autant sombrer dans la simple encyclopédie superficielle, c'est-à-dire notamment en exprimant et en pénétrant un certain «esprit» qui régnera durant toute cette période et par rapport auquel se définissent, d'une manière ou d'une autre, tous ces maîtres, est une tâche que peu de spécialistes actuels oseraient entreprendre. L'ouvrage de Bréhier n'en est que plus précieux pour nous.