Au commencement était la peur de la femme. Au terme est toujours la peur de la femme. Entre les deux, il y a eu la fumée des bûchers. Le christianisme a été le véhicule souvent complaisant de la peur et de la haine de la femme, sans en être l'initiateur. Il a par contre inventé sa diabolisation. Du 14e au 20e siècle Alain Piot nous invite à un parcours inventaire de ce qu'il appelle l'héritage, avec un séjour prolongé, de la Renaissance aux Lumières.
Au commencement était la peur de la femme. Au terme est toujours la peur de la femme. Entre les deux, il y a eu la fumée des bûchers. Le christianisme a été le véhicule souvent complaisant de la peur et de la haine de la femme, sans en être l'initiateur. Il a par contre inventé sa diabolisation. Du 14e au 20e siècle Alain Piot nous invite à un parcours inventaire de ce qu'il appelle l'héritage, avec un séjour prolongé, de la Renaissance aux Lumières.
Au commencement était la peur de la femme. Au terme est toujours la peur de la femme. Entre les deux, il y a eu la fumée des bûchers. Le christianisme a été le véhicule souvent complaisant de la peur et de la haine de la femme, sans en être l'initiateur. Il a par contre inventé sa diabolisation. Du 14e au 20e siècle Alain Piot nous invite à un parcours inventaire de ce qu'il appelle l'héritage, avec un séjour prolongé, de la Renaissance aux Lumières.
Au commencement était la peur de la femme. Au terme est toujours la peur de la femme. Entre les deux, il y a eu la fumée des bûchers. Le christianisme a été le véhicule souvent complaisant de la peur et de la haine de la femme, sans en être l'initiateur. Il a par contre inventé sa diabolisation. Du 14e au 20e siècle Alain Piot nous invite à un parcours inventaire de ce qu'il appelle l'héritage, avec un séjour prolongé, de la Renaissance aux Lumières.