Nommer les visages de la douleur, quand revient l'instant de la trahison, quand arrive celui de la profanation. Et nommer son visage ultime, le dévisager face à face, l'absence. Et cependant qu'ainsi nommée, elle ne soit ni une belle image, ni un doux oubli. C'est ce qu'exige le destin, à l'invocation de la lucidité. Ici s'achève le cycle, et tu ne verras pas le refleurir des fleurs jaunes, attendu par le septembre ultime, la pause de novembre ; dans l'automne finissant.
Nommer les visages de la douleur, quand revient l'instant de la trahison, quand arrive celui de la profanation. Et nommer son visage ultime, le dévisager face à face, l'absence. Et cependant qu'ainsi nommée, elle ne soit ni une belle image, ni un doux oubli. C'est ce qu'exige le destin, à l'invocation de la lucidité. Ici s'achève le cycle, et tu ne verras pas le refleurir des fleurs jaunes, attendu par le septembre ultime, la pause de novembre ; dans l'automne finissant.