D'après le ministre des affaires étrangères Belge Karel De Gucht les "200 millions d'euros investis" en République démocratique du Congo, au titre de l'aide au développement, donneraient à la Belgique un "droit de regard moral" sur la politique de son ex colonie. S'estimant lésé dans sa souveraineté, le gouvernement congolais exigea de réévaluer la politique de coopération entre les deux pays. Et de belgo-congolaise, la querelle devint belgo-belge, entre partis politiques néerlandophones et francophones.
D'après le ministre des affaires étrangères Belge Karel De Gucht les "200 millions d'euros investis" en République démocratique du Congo, au titre de l'aide au développement, donneraient à la Belgique un "droit de regard moral" sur la politique de son ex colonie. S'estimant lésé dans sa souveraineté, le gouvernement congolais exigea de réévaluer la politique de coopération entre les deux pays. Et de belgo-congolaise, la querelle devint belgo-belge, entre partis politiques néerlandophones et francophones.