Pour réenchanter le monde, la lucidité sur nous-mêmes semble être pour l'auteur le premier remède. C'est notre malfaisance de dominants omnipotents écrasant en leur pouvoir la fragilité de la vie qui laisse amers, désenchantés, désespérés. Sylvie Portnoy a rencontré très récemment la sagesse des lettrés chinois qui a traversé l'histoire, se référant de façon constante à l'inspiration de Confucius. Cette sagesse chinoise semble la mieux à même de donner une lucidité propre à réenchanter le monde.
Pour réenchanter le monde, la lucidité sur nous-mêmes semble être pour l'auteur le premier remède. C'est notre malfaisance de dominants omnipotents écrasant en leur pouvoir la fragilité de la vie qui laisse amers, désenchantés, désespérés. Sylvie Portnoy a rencontré très récemment la sagesse des lettrés chinois qui a traversé l'histoire, se référant de façon constante à l'inspiration de Confucius. Cette sagesse chinoise semble la mieux à même de donner une lucidité propre à réenchanter le monde.
Pour réenchanter le monde, la lucidité sur nous-mêmes semble être pour l'auteur le premier remède. C'est notre malfaisance de dominants omnipotents écrasant en leur pouvoir la fragilité de la vie qui laisse amers, désenchantés, désespérés. Sylvie Portnoy a rencontré très récemment la sagesse des lettrés chinois qui a traversé l'histoire, se référant de façon constante à l'inspiration de Confucius. Cette sagesse chinoise semble la mieux à même de donner une lucidité propre à réenchanter le monde.
Pour réenchanter le monde, la lucidité sur nous-mêmes semble être pour l'auteur le premier remède. C'est notre malfaisance de dominants omnipotents écrasant en leur pouvoir la fragilité de la vie qui laisse amers, désenchantés, désespérés. Sylvie Portnoy a rencontré très récemment la sagesse des lettrés chinois qui a traversé l'histoire, se référant de façon constante à l'inspiration de Confucius. Cette sagesse chinoise semble la mieux à même de donner une lucidité propre à réenchanter le monde.