Le monde du travail a connu des profondes mutations. On observe une tendance des organisations à exiger de leurs salariés une capacité à accélérer le rythme de production, une disponibilité et une flexibilité accrues et des compétences de plus en plus sophistiquées et polyvalentes, ce qui entraîne une augmentation sensible du temps de travail et une intensification des tâches, conditions difficiles à soutenir, parfois même impossible à maintenir, pour de nombreux travailleurs et travailleuses.
Pour les jeunes adultes qui doivent se former pour faire face aux exigences élevées et multiples des employeurs, la formation scolaire constitue une étape charnière du cheminement professionnel et les choix de programme d’études ainsi que la façon dont les jeunes adultes anticipent l’exercice de leur métier revêtent une importance stratégique au regard de leurs possibilités d’insertion et d’intégration professionnelles. Ces mutations posent aussi des défis pour ceux et celles dont les cheminements professionnels se trouvent de plus en plus marqués par l’effritement des garanties liées à l’embauche et par la dégradation générale des conditions de travail. Elles posent finalement des défis aux organisations qui éprouvent des difficultés à assurer le maintien en emploi d’une main-d’œuvre active et fonctionnelle.
Les cheminements professionnels se trouvent ainsi plus contingents et plus individualisés et les conséquences individuelles et collectives de ces transformations sont nombreuses : démotivation scolaire, indécision, sentiments d’injustice, manque de reconnaissance de l’activité professionnelle, insatisfaction au travail, pertes identitaires, conflits des valeurs, souffrance au travail, etc.
Ces considérations invitent à réfléchir au sens que prennent l’insertion et l’intégration socioprofessionnelles et à mieux comprendre les processus dynamiques qui contribuent à une intégration en emploi qui a du sens. Plus précisément, elles invitent à s’arrêter aux enjeux que constituent la formation et l’entrée sur le marché du travail des jeunes diplômés dans un contexte de forte compétition et d’exigence élevée de qualification.
Le monde du travail a connu des profondes mutations. On observe une tendance des organisations à exiger de leurs salariés une capacité à accélérer le rythme de production, une disponibilité et une flexibilité accrues et des compétences de plus en plus sophistiquées et polyvalentes, ce qui entraîne une augmentation sensible du temps de travail et une intensification des tâches, conditions difficiles à soutenir, parfois même impossible à maintenir, pour de nombreux travailleurs et travailleuses.
Pour les jeunes adultes qui doivent se former pour faire face aux exigences élevées et multiples des employeurs, la formation scolaire constitue une étape charnière du cheminement professionnel et les choix de programme d’études ainsi que la façon dont les jeunes adultes anticipent l’exercice de leur métier revêtent une importance stratégique au regard de leurs possibilités d’insertion et d’intégration professionnelles. Ces mutations posent aussi des défis pour ceux et celles dont les cheminements professionnels se trouvent de plus en plus marqués par l’effritement des garanties liées à l’embauche et par la dégradation générale des conditions de travail. Elles posent finalement des défis aux organisations qui éprouvent des difficultés à assurer le maintien en emploi d’une main-d’œuvre active et fonctionnelle.
Les cheminements professionnels se trouvent ainsi plus contingents et plus individualisés et les conséquences individuelles et collectives de ces transformations sont nombreuses : démotivation scolaire, indécision, sentiments d’injustice, manque de reconnaissance de l’activité professionnelle, insatisfaction au travail, pertes identitaires, conflits des valeurs, souffrance au travail, etc.
Ces considérations invitent à réfléchir au sens que prennent l’insertion et l’intégration socioprofessionnelles et à mieux comprendre les processus dynamiques qui contribuent à une intégration en emploi qui a du sens. Plus précisément, elles invitent à s’arrêter aux enjeux que constituent la formation et l’entrée sur le marché du travail des jeunes diplômés dans un contexte de forte compétition et d’exigence élevée de qualification.
