Clameur d'exil puise la source de l'enchantement à l'appel de l'enfance, là ou l'aube à peindre épouse l'harmonie. Puis, sur les ruines d'une Babylone aux cours humides et odorantes, la " voix rauque du mâle " découvre " la vraie vie ". " Le ciel des vivants " apparaît alors comme prisonnier de l'ordre obsédant des " grands boulangers du monde ".