Au grand désespoir de sa mère, la cadette des Bridgerton semble condamnée au célibat. Diablement intelligente, beaucoup trop futée et affligée d’un regrettable franc-parler, Hyacinthe n’a rien de l’héritière soumise que prisent les hommes de la bonne société. Cela ne saurait toutefois effrayer Gareth Saint-Clair, qui jouit lui-même d’une réputation sulfureuse et espère qu’elle pourra l’aider à sortir d’une triste impasse. Son père, qui le déteste, est déterminé à ruiner son héritage. Son seul espoir se cache dans les pages d’un vieux journal de famille écrit en italien, une langue dont Gareth ne parle pas un mot.