La crise postconciliaire en Occident est souvent interprétée sous l'angle du rapport du catholicisme avec une modernité qu'il s'agirait de rejoindre tant bien que mal, modernité identifiée à tort à certains phénomènes reliés aux années soixante qui pourraient s'avérer incompatibles avec le christianisme. Dès lors, la posture postconciliaire d'ouverture au monde a pu constituer une inadaptation. C'est à travers ce prisme que l'auteur analyse ici les effets du concile Vatican II.
La crise postconciliaire en Occident est souvent interprétée sous l'angle du rapport du catholicisme avec une modernité qu'il s'agirait de rejoindre tant bien que mal, modernité identifiée à tort à certains phénomènes reliés aux années soixante qui pourraient s'avérer incompatibles avec le christianisme. Dès lors, la posture postconciliaire d'ouverture au monde a pu constituer une inadaptation. C'est à travers ce prisme que l'auteur analyse ici les effets du concile Vatican II.