Le Dieu de la modernité se retire de l'histoire et du monde en laissant l'homme vaquer à ses affaires temporelles. Plutôt que de s'ouvrir au transcendant, il se conçoit d'abord et avant tout comme transcendance dans l'immanence, appelé à construire le monde et l'histoire sans nécessairement l'intervention de Dieu. La rupture épistémologique que l'auteur préconise consiste à fixer le débat philosophique sur l'homme comme un existé fondamentalement religieux.
Le Dieu de la modernité se retire de l'histoire et du monde en laissant l'homme vaquer à ses affaires temporelles. Plutôt que de s'ouvrir au transcendant, il se conçoit d'abord et avant tout comme transcendance dans l'immanence, appelé à construire le monde et l'histoire sans nécessairement l'intervention de Dieu. La rupture épistémologique que l'auteur préconise consiste à fixer le débat philosophique sur l'homme comme un existé fondamentalement religieux.