Cette correspondance familiale, écrite entre 1942 et 1945 raconte à travers la banalité de la vie quotidienne la déchirure de la déportation d'une famille de Juifs polonais, arrivée en France en 1930. La plupart des lettres sont écrites par Raymonde, l'aînée d'une famille de quatre filles âgées de 13 ans, 10 ans, 7 ans et 6 mois et demi. Après plusieurs tentatives d'évasion des maisons de l'UGIF à Paris, elles vont finir par rejoindre leur père, en semi-liberté au camp de Sereilhac, mais elles attendront en vain le retour de leur mère, déportée à Aushwitz-Birkenau, le 17 juillet 1942.
Cette correspondance familiale, écrite entre 1942 et 1945 raconte à travers la banalité de la vie quotidienne la déchirure de la déportation d'une famille de Juifs polonais, arrivée en France en 1930. La plupart des lettres sont écrites par Raymonde, l'aînée d'une famille de quatre filles âgées de 13 ans, 10 ans, 7 ans et 6 mois et demi. Après plusieurs tentatives d'évasion des maisons de l'UGIF à Paris, elles vont finir par rejoindre leur père, en semi-liberté au camp de Sereilhac, mais elles attendront en vain le retour de leur mère, déportée à Aushwitz-Birkenau, le 17 juillet 1942.