De son premier recueil de poèmes en 1976, la poésie est restée l'arène de ses tourments et des combats poétiques de Petraq Risto, le "moment de vérité", du noir face au rouge, du cri romain, où le public exigeant demande toujours la victoire au torero. Cela arrive parce qu'en lui brûle et s'enflamme la poésie. C'est précisémment cela qui a réveillé sa révolte, faisant sa poésie plus sociale, plus humaine, plus engagée, c'est la révolte contre les guerres et la tuerie humaine, révolte contre l'hypocrisie, la trahison et l'âme corrompue.