Les Modernes se définissent par l'assomption de l'individu. Les Modernes raniment la tradition gnostique qui est aux deux limites du matérialiste imaginaire : les uns disent savoir le mal latent et s'en prémunissent par l'abstention : pas de métaphysique de la recherche du Bien ; pas de mystique de la pureté ; pas d'utopie du bonheur. Les autres, ceux qui ont succombé aux imaginaires délirant de l'homme puissant, ont produit du monstrueux qui mène au néant. Où est, dans cette triste perspective, l'"homme vivant" ?
Les Modernes se définissent par l'assomption de l'individu. Les Modernes raniment la tradition gnostique qui est aux deux limites du matérialiste imaginaire : les uns disent savoir le mal latent et s'en prémunissent par l'abstention : pas de métaphysique de la recherche du Bien ; pas de mystique de la pureté ; pas d'utopie du bonheur. Les autres, ceux qui ont succombé aux imaginaires délirant de l'homme puissant, ont produit du monstrueux qui mène au néant. Où est, dans cette triste perspective, l'"homme vivant" ?