Ce Maltraité de savoir vivre, l'auteur le présentait volontiers comme un "ovni littéraire", et il avait raison. Difficile en effet d'étiqueter ce livre à mi-chemin entre aphorismes et récit, qui réussit l'exploit d'adopter des accents mémorialiste, empruntant les sentes de l'humour et de l'autodérision et qui, à l'instar des grands moralistes, refuse l'eau tiède des jours et de se voiler la face.
Comme il l'écrit lui-même : "La vie est souvent moche. Mais vivre est tout de même rigolo - et parfois chouette. Je ne tiens pas tellement à la vie, mais encore bien moins à la mort."
Ce Maltraité de savoir vivre, l'auteur le présentait volontiers comme un "ovni littéraire", et il avait raison. Difficile en effet d'étiqueter ce livre à mi-chemin entre aphorismes et récit, qui réussit l'exploit d'adopter des accents mémorialiste, empruntant les sentes de l'humour et de l'autodérision et qui, à l'instar des grands moralistes, refuse l'eau tiède des jours et de se voiler la face.
Comme il l'écrit lui-même : "La vie est souvent moche. Mais vivre est tout de même rigolo - et parfois chouette. Je ne tiens pas tellement à la vie, mais encore bien moins à la mort."
Ce Maltraité de savoir vivre, l'auteur le présentait volontiers comme un "ovni littéraire", et il avait raison. Difficile en effet d'étiqueter ce livre à mi-chemin entre aphorismes et récit, qui réussit l'exploit d'adopter des accents mémorialiste, empruntant les sentes de l'humour et de l'autodérision et qui, à l'instar des grands moralistes, refuse l'eau tiède des jours et de se voiler la face.
Comme il l'écrit lui-même : "La vie est souvent moche. Mais vivre est tout de même rigolo - et parfois chouette. Je ne tiens pas tellement à la vie, mais encore bien moins à la mort."
Ce Maltraité de savoir vivre, l'auteur le présentait volontiers comme un "ovni littéraire", et il avait raison. Difficile en effet d'étiqueter ce livre à mi-chemin entre aphorismes et récit, qui réussit l'exploit d'adopter des accents mémorialiste, empruntant les sentes de l'humour et de l'autodérision et qui, à l'instar des grands moralistes, refuse l'eau tiède des jours et de se voiler la face.
Comme il l'écrit lui-même : "La vie est souvent moche. Mais vivre est tout de même rigolo - et parfois chouette. Je ne tiens pas tellement à la vie, mais encore bien moins à la mort."