En mai 2000, le Liban sud et donc la prison de Khiam, baptisée "prison de la honte" par Amnesty International, sont libérés de l'occupation israélienne. Quelque 3.000 hommes et femmes, des Libanais mais aussi des Palestiniens, des résistants actifs ou de simples habitants refusant de collaborer avec Israël, ont été enfermés et torturés, sans aucune forme de procès. Au-delà du récit, le témoignage de 12 d'entre eux permet de comprendre comment la conviction patriotique a été un instrument de survie et un lien identitaire.
En mai 2000, le Liban sud et donc la prison de Khiam, baptisée "prison de la honte" par Amnesty International, sont libérés de l'occupation israélienne. Quelque 3.000 hommes et femmes, des Libanais mais aussi des Palestiniens, des résistants actifs ou de simples habitants refusant de collaborer avec Israël, ont été enfermés et torturés, sans aucune forme de procès. Au-delà du récit, le témoignage de 12 d'entre eux permet de comprendre comment la conviction patriotique a été un instrument de survie et un lien identitaire.