La réforme de la politique de coopération au développement mise en oeuvre en 1998 par le gouvernement de Lionel Jospin semblait nécessaire dans ce secteur très critiqué (complexité institutionnelle, néocolonialisme, inefficacité...). Voici un éclairage sur le long chemin de la "modernisation de l'Etat", entre résistance des organisations, inertie de l'action publique, ou encore contraintes budgétaires. Le processus de réforme a redessiné le paysage institutionnel de la politique de coopération, laissant une place centrale à l'Agence Française de Développement, jusque là acteur de second plan.
La réforme de la politique de coopération au développement mise en oeuvre en 1998 par le gouvernement de Lionel Jospin semblait nécessaire dans ce secteur très critiqué (complexité institutionnelle, néocolonialisme, inefficacité...). Voici un éclairage sur le long chemin de la "modernisation de l'Etat", entre résistance des organisations, inertie de l'action publique, ou encore contraintes budgétaires. Le processus de réforme a redessiné le paysage institutionnel de la politique de coopération, laissant une place centrale à l'Agence Française de Développement, jusque là acteur de second plan.