Les cadres ont cette image d'Epinal de privilégiés parmi les salariés. Cependant, à la lumière des travaux de l'observatoire du stress, il ressort nettement que cette image appartient au passé : bien au contraire, ils sont sur la ligne de front et en présentent tous les stigmates ! En effet, les cadres le disent clairement : ils n'ont pas assez de temps, pas assez de reconnaissance ni de visibilité et le sentiment d'être au début de l'industrialisation du tertiaire. Un cocktail explosif responsable de mauvaise productivité, de mauvaise santé et d'un climat social détestable.
Les cadres ont cette image d'Epinal de privilégiés parmi les salariés. Cependant, à la lumière des travaux de l'observatoire du stress, il ressort nettement que cette image appartient au passé : bien au contraire, ils sont sur la ligne de front et en présentent tous les stigmates ! En effet, les cadres le disent clairement : ils n'ont pas assez de temps, pas assez de reconnaissance ni de visibilité et le sentiment d'être au début de l'industrialisation du tertiaire. Un cocktail explosif responsable de mauvaise productivité, de mauvaise santé et d'un climat social détestable.