Les prochaines élections présidentielles sont l'occasion de rappeler la place des femmes en politique dans notre pays, alors que d'autres nations ont déjà porté une femme au pouvoir suprême. Les dernières affaires de moeurs qui ont éclaboussé le monde politique français sont autant d'illustrations d'un pouvoir phallocrate et misogyne, dans lequel les mentalités doivent évoluer et où le cumul des mandats laisse peu de place au renouvellement de la classe politique, qui se complaît dans la gérontocratie.
Les prochaines élections présidentielles sont l'occasion de rappeler la place des femmes en politique dans notre pays, alors que d'autres nations ont déjà porté une femme au pouvoir suprême. Les dernières affaires de moeurs qui ont éclaboussé le monde politique français sont autant d'illustrations d'un pouvoir phallocrate et misogyne, dans lequel les mentalités doivent évoluer et où le cumul des mandats laisse peu de place au renouvellement de la classe politique, qui se complaît dans la gérontocratie.