En 1948 , l'auteur arrive au Congo-Belge pour servir comme ingénieur au sein de l'Union Minière du Haut-Katanga, où il participe au progrès économique et social des années d'après-guerre. Les turbulences commencent en 1960 avec la proclamation de l'indépendance congolaise. Fin 1966, l'Union Minière devient dans une entreprise nationalisée sous le nom de " Société générale des Carrières et des Mines " (Gécamines). Jusqu'en 1974, la collaboration entre Bruxelles et Kinshasa semble possible. Ces mémoires nous retrace la véritable histoire de l'Union Minière-Gécamines autant que celle du Katanga-Shaba.
En 1948 , l'auteur arrive au Congo-Belge pour servir comme ingénieur au sein de l'Union Minière du Haut-Katanga, où il participe au progrès économique et social des années d'après-guerre. Les turbulences commencent en 1960 avec la proclamation de l'indépendance congolaise. Fin 1966, l'Union Minière devient dans une entreprise nationalisée sous le nom de " Société générale des Carrières et des Mines " (Gécamines). Jusqu'en 1974, la collaboration entre Bruxelles et Kinshasa semble possible. Ces mémoires nous retrace la véritable histoire de l'Union Minière-Gécamines autant que celle du Katanga-Shaba.