Le Président Mbakhari, affaibli par son propre pouvoir, nage à contre-courant de la marche inexorable de son peuple vers la liberté et la démocratie. Sans s'en rendre compte, il est dans le sillage de César, ne pouvant se réaliser que par le pouvoir. "Rendre César à Dieu" lui intima Cheikh Mahmoud. Mbakhari refusa l'évidence et finit comme César : éliminé. Faudrait-il alors devant tout réceptacle humain de pouvoir, sur son front ou son frontispice, écrire ou graver dedans : abus extrêmement dangereux ?
Le Président Mbakhari, affaibli par son propre pouvoir, nage à contre-courant de la marche inexorable de son peuple vers la liberté et la démocratie. Sans s'en rendre compte, il est dans le sillage de César, ne pouvant se réaliser que par le pouvoir. "Rendre César à Dieu" lui intima Cheikh Mahmoud. Mbakhari refusa l'évidence et finit comme César : éliminé. Faudrait-il alors devant tout réceptacle humain de pouvoir, sur son front ou son frontispice, écrire ou graver dedans : abus extrêmement dangereux ?