Le frein lacéré de ta joie usé, corrodé comme on déchoit à l'abattoir plein de stances engorgées Vois, je m'abats à genoux j'ai quelques mots au croisement de la gorge Écoute-les, jamais ils ne sortiront Ils sont de moi à toi, ils sont mort-nés, comme nous deux peut-être.
Le frein lacéré de ta joie usé, corrodé comme on déchoit à l'abattoir plein de stances engorgées Vois, je m'abats à genoux j'ai quelques mots au croisement de la gorge Écoute-les, jamais ils ne sortiront Ils sont de moi à toi, ils sont mort-nés, comme nous deux peut-être.