Associer les femmes de Lubumbashi -capitale du poumon économique katangais- à la mode vestimentaire, à la coiffure, à la chanson locales, peut s’avérer réducteur voire scabreux. Ici cette démarche est symptomatique de la position de la femme urbanisée.. On découvre la conception que les lushoises ont d ‘elles-mêmes, dans leur cadre social. Une relation émouvante aux objets, offerts ou acquis, jalonne leur mémoire de vie. Les chansons et les peintures témoignent de leur statut de « ménagères » ou de « femmes libres ». L’opinion véhiculée par les hommes à leur endroit est l’autre face du miroir.
Associer les femmes de Lubumbashi -capitale du poumon économique katangais- à la mode vestimentaire, à la coiffure, à la chanson locales, peut s’avérer réducteur voire scabreux. Ici cette démarche est symptomatique de la position de la femme urbanisée.. On découvre la conception que les lushoises ont d ‘elles-mêmes, dans leur cadre social. Une relation émouvante aux objets, offerts ou acquis, jalonne leur mémoire de vie. Les chansons et les peintures témoignent de leur statut de « ménagères » ou de « femmes libres ». L’opinion véhiculée par les hommes à leur endroit est l’autre face du miroir.