« Chaque jour, je me suis senti un peu plus de trop entre ces deux-là. Le malheur, c’est qu’Édouard est un marcheur, comme Michaël et moi. Il a même fallu qu’il déménage sur la même rue que mon ami. Il marche donc avec nous. En fait, JE marche avec EUX. Il faut m’ajuster à leurs pas, sinon je me retrouve seul. Et ils ne s’en aperçoivent même pas ! Ils sont trop occupés à parler ensemble. Jeudi, ils sont même partis de l’école sans moi. J’ai dû courir pour les rattraper. »