Les frontières de l'humain se révèlent poreuses et de plus en plus floues. Il y a une invitation, une urgence : repenser l'humain. Parmi les différentes frontières à explorer, celle entre l'homme et la chose s'avère être l'une des plus intéressantes. Le déplacement de cette frontière se donne à voir, de manière saillante, dans le post-humanisme. De ces analyses, il ressort que la question anthropologique décisive ne serait pas "qu'est-ce que l'homme ?" mais "que peut-on faire à l'homme et avec lui ?".
Les frontières de l'humain se révèlent poreuses et de plus en plus floues. Il y a une invitation, une urgence : repenser l'humain. Parmi les différentes frontières à explorer, celle entre l'homme et la chose s'avère être l'une des plus intéressantes. Le déplacement de cette frontière se donne à voir, de manière saillante, dans le post-humanisme. De ces analyses, il ressort que la question anthropologique décisive ne serait pas "qu'est-ce que l'homme ?" mais "que peut-on faire à l'homme et avec lui ?".