La Mise à mort (1965), Théâtre/Roman (1974) d'Aragon sont des romans de la fin. Des romans inclassables. Il y est question du stalinisme, de la vieillesse, du doute, de l'amour mais aussi de la création littéraire, de la place et du rôle de l'imaginaire compris comme ce qui a rapport à l'image de soi, de la conception du roman, du réalisme, du concept de mentir-vrai… Valère Staraselski offre ici une pertinente lecture de l'intérieur de ces deux grands romans encore trop méconnus de Louis Aragon.