La discipline philosophique appelée "théorie de la connaissance" cherche à comprendre comment l'homme appréhende le monde, et par conséquent ce qu'on peut appeler "vérité" et "erreur"... Dans une perspective nouvelle, la philosophie systémique pose l'être humain dans un arc communicationnel avec son monde environnant, niant la dichotomie classique sujet/objet, instituant par contre une rationalité construite et donc passible de déconstruction. A la lumière de ces nouvelles approches, on change les paradigmes de la "causalité" et du "hasard".
La discipline philosophique appelée "théorie de la connaissance" cherche à comprendre comment l'homme appréhende le monde, et par conséquent ce qu'on peut appeler "vérité" et "erreur"... Dans une perspective nouvelle, la philosophie systémique pose l'être humain dans un arc communicationnel avec son monde environnant, niant la dichotomie classique sujet/objet, instituant par contre une rationalité construite et donc passible de déconstruction. A la lumière de ces nouvelles approches, on change les paradigmes de la "causalité" et du "hasard".
La discipline philosophique appelée "théorie de la connaissance" cherche à comprendre comment l'homme appréhende le monde, et par conséquent ce qu'on peut appeler "vérité" et "erreur"... Dans une perspective nouvelle, la philosophie systémique pose l'être humain dans un arc communicationnel avec son monde environnant, niant la dichotomie classique sujet/objet, instituant par contre une rationalité construite et donc passible de déconstruction. A la lumière de ces nouvelles approches, on change les paradigmes de la "causalité" et du "hasard".
La discipline philosophique appelée "théorie de la connaissance" cherche à comprendre comment l'homme appréhende le monde, et par conséquent ce qu'on peut appeler "vérité" et "erreur"... Dans une perspective nouvelle, la philosophie systémique pose l'être humain dans un arc communicationnel avec son monde environnant, niant la dichotomie classique sujet/objet, instituant par contre une rationalité construite et donc passible de déconstruction. A la lumière de ces nouvelles approches, on change les paradigmes de la "causalité" et du "hasard".