N'ayant jamais trop fréquenté l'école il a quand même choisi l'écriture pour alerter les gadgé (non voyageurs) sur l'imminence du danger: si on continue à vouloir sédentariser les Tziganes, ils vont mourir en perdant leur culture, leur langue, leurs traditions. Le désespoir en a déjà conduit plus d'un vers la drogue. Issu d'une famille de vanniers, d'étameurs et de maquignons, l'auteur défend inlassablement le droit de vivre différemment, libre sur les routes, en osmose avec Mère Nature.