Au-delà des discours sensationnalistes ou institutionnels à propos de la délinquance de jeunes itinérants et de gangs de rue, l'anthropologue québécoise Louise Tassé ouvre la question de leur posture subversive. Ces jeunes ont pratiqué la rue en y laissant l'empreinte d'un manque à analyser chez eux, chez leurs pairs et chez les adultes responsables de leur donner accès à l'idée de la négativité qui nous constitue.
Au-delà des discours sensationnalistes ou institutionnels à propos de la délinquance de jeunes itinérants et de gangs de rue, l'anthropologue québécoise Louise Tassé ouvre la question de leur posture subversive. Ces jeunes ont pratiqué la rue en y laissant l'empreinte d'un manque à analyser chez eux, chez leurs pairs et chez les adultes responsables de leur donner accès à l'idée de la négativité qui nous constitue.
Au-delà des discours sensationnalistes ou institutionnels à propos de la délinquance de jeunes itinérants et de gangs de rue, l'anthropologue québécoise Louise Tassé ouvre la question de leur posture subversive. Ces jeunes ont pratiqué la rue en y laissant l'empreinte d'un manque à analyser chez eux, chez leurs pairs et chez les adultes responsables de leur donner accès à l'idée de la négativité qui nous constitue.
Au-delà des discours sensationnalistes ou institutionnels à propos de la délinquance de jeunes itinérants et de gangs de rue, l'anthropologue québécoise Louise Tassé ouvre la question de leur posture subversive. Ces jeunes ont pratiqué la rue en y laissant l'empreinte d'un manque à analyser chez eux, chez leurs pairs et chez les adultes responsables de leur donner accès à l'idée de la négativité qui nous constitue.