La poésie d'Alain Tasso nous entraîne, par deux voies. L'une, voie ascendante et solaire, reparcourt le trajet vers l'Un, telle une flèche lancée vers l'invisible. L'autre, la voie descendante, conduit le lecteur voyageur vers les régions nocturne de l'ombre : dans sa peinture comme dans sa poésie la couleur noire devient alors le vecteur privilégié de cette catabase et coïncide avec la phase de la nigredo alchimique.
La poésie d'Alain Tasso nous entraîne, par deux voies. L'une, voie ascendante et solaire, reparcourt le trajet vers l'Un, telle une flèche lancée vers l'invisible. L'autre, la voie descendante, conduit le lecteur voyageur vers les régions nocturne de l'ombre : dans sa peinture comme dans sa poésie la couleur noire devient alors le vecteur privilégié de cette catabase et coïncide avec la phase de la nigredo alchimique.