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ISBN9782763714189
ÉditeurPUL Diffusion
Format-
Section-
Parution1900-01-01
Collection-

Globalisation du monde et le déclin du réformisme

Par Teeple, Gary

  • 35,00$ /unité
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No. fourn.
Format En stock Quantité
(9782763714189)
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Description

La globalisation du monde représente l'avènement du « triomphe du capitalisme »; elle signifie que l'économique a de plus en plus préséance sur le politique, que les exigences de l'entreprise privée éclipsent chaque jour davantage les politiques publiques et que l'intérêt privé a prime sur l'intérêt public. Par elle on voit bientôt s'achever la capitalisation du monde entier, laquelle est le fait du « capital autogénérateur » sous la forme de compagnies dont l'activité se déploie dans un régime de réglementation transnational de plus en plus cohérent. Dans cet ouvrage, l'auteur se penche sur les conditions qui, après la Seconde Guerre mondiale, ont permis l'émergence de l'Etat-providence et des politiques socio-démocrates de l'ère moderne dans tous les pays industrialisés. Il décrit la transformation qui s'est opérée au cours des années 1970 quand le mode de production assistée par ordinateur est apparu et que dans son sillage s'est fait jour la nécessité de mettre en place des relations de production véritablement planétaires. Face aux revendications planétaires des droits de la propriété privée aux mains de la grande entreprise, il défend le point de vue selon lequel les classes subalternes comme les gens moins bien nantis n'auront d'autre choix que de créer des moyens de résistance qui soient planétaires. Commentaires sur la première édition parue en 1995 : « Un langage clair... un formidable essai de critique sociale. » « Impressionnant... des idées défendues avec force et autorité... extraordinairement bien documenté. » « Une excellente étude, extrêmement utile, rédigée dans un style clair, élégant et des plus lisible. »

La globalisation du monde représente l'avènement du « triomphe du capitalisme »; elle signifie que l'économique a de plus en plus préséance sur le politique, que les exigences de l'entreprise privée éclipsent chaque jour davantage les politiques publiques et que l'intérêt privé a prime sur l'intérêt public. Par elle on voit bientôt s'achever la capitalisation du monde entier, laquelle est le fait du « capital autogénérateur » sous la forme de compagnies dont l'activité se déploie dans un régime de réglementation transnational de plus en plus cohérent. Dans cet ouvrage, l'auteur se penche sur les conditions qui, après la Seconde Guerre mondiale, ont permis l'émergence de l'Etat-providence et des politiques socio-démocrates de l'ère moderne dans tous les pays industrialisés. Il décrit la transformation qui s'est opérée au cours des années 1970 quand le mode de production assistée par ordinateur est apparu et que dans son sillage s'est fait jour la nécessité de mettre en place des relations de production véritablement planétaires. Face aux revendications planétaires des droits de la propriété privée aux mains de la grande entreprise, il défend le point de vue selon lequel les classes subalternes comme les gens moins bien nantis n'auront d'autre choix que de créer des moyens de résistance qui soient planétaires. Commentaires sur la première édition parue en 1995 : « Un langage clair... un formidable essai de critique sociale. » « Impressionnant... des idées défendues avec force et autorité... extraordinairement bien documenté. » « Une excellente étude, extrêmement utile, rédigée dans un style clair, élégant et des plus lisible. »