Amour est la douceur même : quel amour ? Celui qui saisit tout, sans fin ni commencement. S'il y a eu, en poésie, séparation entre amour profane et sentiment religieux, n'est-ce pas parce qu'il y avait eu auparavant un cheminement commun ? Quelques poètes refusent sa forme terrestre à l'amour pur. C'est la trace de la notion d'amour pur dans les poésies des troubadours que Suzanne Thiolier-Méjean étudie ici.
Amour est la douceur même : quel amour ? Celui qui saisit tout, sans fin ni commencement. S'il y a eu, en poésie, séparation entre amour profane et sentiment religieux, n'est-ce pas parce qu'il y avait eu auparavant un cheminement commun ? Quelques poètes refusent sa forme terrestre à l'amour pur. C'est la trace de la notion d'amour pur dans les poésies des troubadours que Suzanne Thiolier-Méjean étudie ici.