Le "nouveau consensus" dégage depuis une vingtaine d'années les grands traits d'un "fascisme générique" commun à tous les radicalismes nationalistes autour de leur quadruple dimension de syncrétisme idéologique et social droite-gauche et interclasse, d'exacerbation de la religiosité politique, de révolution globale et de promesse de régénération nationale... Ces analyses ont trouvé un large écho parmi les jeunes historiens roumains, pionniers dans un espace centre-européen riche en mouvements de droite radicaux.
Le "nouveau consensus" dégage depuis une vingtaine d'années les grands traits d'un "fascisme générique" commun à tous les radicalismes nationalistes autour de leur quadruple dimension de syncrétisme idéologique et social droite-gauche et interclasse, d'exacerbation de la religiosité politique, de révolution globale et de promesse de régénération nationale... Ces analyses ont trouvé un large écho parmi les jeunes historiens roumains, pionniers dans un espace centre-européen riche en mouvements de droite radicaux.