Auschwitz peut-il encore obliger la pensée aujourd'hui ? C'est à cette question que cet essai tente de répondre par l'affirmative, dans la trace vive du livre exceptionnel que Primo Levi rédigea en 1986, c'est à dire quarante ans après Auschwitz, intitulé en français "Les naufragés et les rescapés", mais egalement dans la lumière spectrale et inquiétante de la mort violente que l'écrivain s'est donné un an plus tard, un matin d'avril 1987 à Turin.
Auschwitz peut-il encore obliger la pensée aujourd'hui ? C'est à cette question que cet essai tente de répondre par l'affirmative, dans la trace vive du livre exceptionnel que Primo Levi rédigea en 1986, c'est à dire quarante ans après Auschwitz, intitulé en français "Les naufragés et les rescapés", mais egalement dans la lumière spectrale et inquiétante de la mort violente que l'écrivain s'est donné un an plus tard, un matin d'avril 1987 à Turin.