Être vivant, c'est être malade. Entre ces deux états, il n'y a pour ainsi dire pas de place. Il y a une zone d'affrontement où la vanité et l'espoir partagent leur place avec la fatalité et la compassion. De cet espace funambule, s'échappe un bruit de fond qui est la matière de ces textes.
Être vivant, c'est être malade. Entre ces deux états, il n'y a pour ainsi dire pas de place. Il y a une zone d'affrontement où la vanité et l'espoir partagent leur place avec la fatalité et la compassion. De cet espace funambule, s'échappe un bruit de fond qui est la matière de ces textes.