"Le corps de l'autre" est une variation poétique sur la présence et l'apparence de l'autre féminin dans ce qui fait perdurer le regard et l'attrait, l'aimance et le désir vivant. Il y a une sorte de fatalité poétique puisque le féminin est déjà signifié par ce qu'il suppose de fascination, de trouble irrépressible et d'étonnement dans le lignage des désirs, dans l'inconnaissance répétée et les lignes de fuite des corps ; fatalité paradoxale nourrie d'évidence et de secret, de présence et d'absence.
"Le corps de l'autre" est une variation poétique sur la présence et l'apparence de l'autre féminin dans ce qui fait perdurer le regard et l'attrait, l'aimance et le désir vivant. Il y a une sorte de fatalité poétique puisque le féminin est déjà signifié par ce qu'il suppose de fascination, de trouble irrépressible et d'étonnement dans le lignage des désirs, dans l'inconnaissance répétée et les lignes de fuite des corps ; fatalité paradoxale nourrie d'évidence et de secret, de présence et d'absence.