Il y a eu, tout au long des siècles, coaction, coadaptation et transformation réciproque entre les hommes et la nature qui lui sert de milieu. Or, avec la naissance de l'industrialisme capitaliste, a été perdu, en Occident, le sens de cette codépendance. La nature a été réduite à l'état de "ressource", d'instrument au service des finalités économiques et sociales de la société "moderne". Ce livre montre que la question écologique reste à double face, positive et négative, et propose des pistes.
Il y a eu, tout au long des siècles, coaction, coadaptation et transformation réciproque entre les hommes et la nature qui lui sert de milieu. Or, avec la naissance de l'industrialisme capitaliste, a été perdu, en Occident, le sens de cette codépendance. La nature a été réduite à l'état de "ressource", d'instrument au service des finalités économiques et sociales de la société "moderne". Ce livre montre que la question écologique reste à double face, positive et négative, et propose des pistes.
Il y a eu, tout au long des siècles, coaction, coadaptation et transformation réciproque entre les hommes et la nature qui lui sert de milieu. Or, avec la naissance de l'industrialisme capitaliste, a été perdu, en Occident, le sens de cette codépendance. La nature a été réduite à l'état de "ressource", d'instrument au service des finalités économiques et sociales de la société "moderne". Ce livre montre que la question écologique reste à double face, positive et négative, et propose des pistes.
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