La métaphore de la peau révèle un aspect crucial du passage entre l'argentique et le numérique. Avec ce dernier, l'auteur se réfère au caractère non dermatologique de la surface numérique, du fait qu'il s'est produit sur elle une soustraction de la peau : c'est l'époque de l'ultra-peau, par opposition à l'époque de la dermatologie photographique. Nous vivons la fin de la surface contactée. Il vaut la peine de se demander ce que signifie pour nous d'abandonner les ombres et les peaux qui étaient à la base de l'expérience photographique. Quels types de subjectivités ressortiront d'un processus d'une telle ampleur ?
La métaphore de la peau révèle un aspect crucial du passage entre l'argentique et le numérique. Avec ce dernier, l'auteur se réfère au caractère non dermatologique de la surface numérique, du fait qu'il s'est produit sur elle une soustraction de la peau : c'est l'époque de l'ultra-peau, par opposition à l'époque de la dermatologie photographique. Nous vivons la fin de la surface contactée. Il vaut la peine de se demander ce que signifie pour nous d'abandonner les ombres et les peaux qui étaient à la base de l'expérience photographique. Quels types de subjectivités ressortiront d'un processus d'une telle ampleur ?