Ce livre participe au débat sur la lutte anticoloniale des marginaux, à travers le cas d'Akpadjaka, vu comme un bandit de grand chemin par les uns, mais perçu à l'époque par les autres, une frange des populations du Togo méridional, comme un redresseur de torts, qui n'hésitait pas à détrousser les nantis pour soulager la misère des pauvres.
Ce livre participe au débat sur la lutte anticoloniale des marginaux, à travers le cas d'Akpadjaka, vu comme un bandit de grand chemin par les uns, mais perçu à l'époque par les autres, une frange des populations du Togo méridional, comme un redresseur de torts, qui n'hésitait pas à détrousser les nantis pour soulager la misère des pauvres.