ÉCHOS DE LA PRESSE:
« Aller aux fraises est avant tout constitué de récits de filiation. Le fils qui, dans les derniers milles de sa vie au secondaire, ne saisit pas les modifications dans son rapport à son père, les changements quasi indicibles qui s’opèrent dans leurs attitudes, jusqu’au moment où il doit quitter le nid familial […]. Les trois nouvelles de Plamondon sont régies par de tels effleurements, ce souci de ne pas trop en dire mais de juste assez effrayer la surface de l’eau. »? David Bélanger, Liberté
« Notre mémoire découpe le passé comme bon lui semble et, le façonnant, donne un sens à notre vie. Nous entrons dans l’âge adulte et l’enfance comme l’adolescence se décantent, et nous continuons à exister grâce à ces vestiges. Voilà ce que rappelle Aller aux fraises, dans de joyeuses narrations aux formules souvent poignantes. »? Jean-François Chassay, XYZ
« Contées sur un mode proche de l’oralité, les trois histoires en ont la fluidité familière, un naturel qui donne l’impression de les entendre plutôt que de les lire et suscite l’empathie. »? Yann Fastier, Le matricule des anges.