Dans cet ouvrage, on dresse un état des lieux des approches qui se sont développées depuis plus de dix ans en mettant à profit le tradition ergonomique d'analyse de l'activité pour étudier le travail enseignant. Plutôt que de travail,on parlera d 'activité pour désigner cette référence à la dimension concrète, opératoire et singulière du métier d'enseignante. Poser l'existence d'un tel courant, c'est immédiatement poser la question de son apport et de son originalité face aux études existantes en sociologie de l'éducation et en pédagogie. L'ouvrage plaide pour une thèse forte : une appoche centrée sur l'activité des enseignats, nourrie de la démarche ergonomique, est de nature à renouveler les rapports entre intervention, recherche et formation en éducation.
Si les contributions qui composent ce texte partent d'une référence commune et partagent une même visée d'intervention et de développement professionnel, les auteurs qui ont participé à cet ouvrage ne cachent rien de leurs différences.Le lecteur trouvera donc, l'exposé de plusieurs options méthodologiques et théoriques pour analyser l'activité concrète des enseignants afin de les acconpagner dans la transformation de leurs pratiques. Le livre est aussi traversé par la préocupation d'une opérationnalisation de ces approches en formation. Ce faisant, ces tentatives et dispositifs innovant croisent d'autres initiatives que l'on rassemble généralement sous le nom d'analyse de pratique.
Cet ouvrage comble une lacune de la littérature actuelle en faisant l'inventaire et l'exposé des approches de l'activité enseignante. Sous le signe de la pluralité, au fil des chapitres, le lecteur pourra dresser un panorama précis de ce champ et des nuances qui l'habitent. Finalement, présenter ces démarche d'analyse, leurs fondement épistémologiques, les concepts mobilisés et les résultats produits par ces approches peut être interpété comme une invitation à les développer et à les adapter pour en arriver à une meilleure compréhension du travail concret des enseignants.
Dans cet ouvrage, on dresse un état des lieux des approches qui se sont développées depuis plus de dix ans en mettant à profit le tradition ergonomique d'analyse de l'activité pour étudier le travail enseignant. Plutôt que de travail,on parlera d 'activité pour désigner cette référence à la dimension concrète, opératoire et singulière du métier d'enseignante. Poser l'existence d'un tel courant, c'est immédiatement poser la question de son apport et de son originalité face aux études existantes en sociologie de l'éducation et en pédagogie. L'ouvrage plaide pour une thèse forte : une appoche centrée sur l'activité des enseignats, nourrie de la démarche ergonomique, est de nature à renouveler les rapports entre intervention, recherche et formation en éducation.
Si les contributions qui composent ce texte partent d'une référence commune et partagent une même visée d'intervention et de développement professionnel, les auteurs qui ont participé à cet ouvrage ne cachent rien de leurs différences.Le lecteur trouvera donc, l'exposé de plusieurs options méthodologiques et théoriques pour analyser l'activité concrète des enseignants afin de les acconpagner dans la transformation de leurs pratiques. Le livre est aussi traversé par la préocupation d'une opérationnalisation de ces approches en formation. Ce faisant, ces tentatives et dispositifs innovant croisent d'autres initiatives que l'on rassemble généralement sous le nom d'analyse de pratique.
Cet ouvrage comble une lacune de la littérature actuelle en faisant l'inventaire et l'exposé des approches de l'activité enseignante. Sous le signe de la pluralité, au fil des chapitres, le lecteur pourra dresser un panorama précis de ce champ et des nuances qui l'habitent. Finalement, présenter ces démarche d'analyse, leurs fondement épistémologiques, les concepts mobilisés et les résultats produits par ces approches peut être interpété comme une invitation à les développer et à les adapter pour en arriver à une meilleure compréhension du travail concret des enseignants.