L'enseignement des relations internationales devrait revêtir un savant mixage de trois dimensions correspondant aux trois pôles professionnels qui magnifient sa science existentielle. Il y a d'abord les théoriciens bruts, pétris de démonstrations académiques et d'évidences comparatives. Il y a ensuite les professionnels classiques qui pensent les attitudes, les comportements et les décisions des acteurs. Enfin il y a les diplomates de terrain, confrontés à la réalité des missions. Dorénavant, il est impossible de figer la démarche internationale dans un monde étroit, sectaire et théorique.
L'enseignement des relations internationales devrait revêtir un savant mixage de trois dimensions correspondant aux trois pôles professionnels qui magnifient sa science existentielle. Il y a d'abord les théoriciens bruts, pétris de démonstrations académiques et d'évidences comparatives. Il y a ensuite les professionnels classiques qui pensent les attitudes, les comportements et les décisions des acteurs. Enfin il y a les diplomates de terrain, confrontés à la réalité des missions. Dorénavant, il est impossible de figer la démarche internationale dans un monde étroit, sectaire et théorique.
L'enseignement des relations internationales devrait revêtir un savant mixage de trois dimensions correspondant aux trois pôles professionnels qui magnifient sa science existentielle. Il y a d'abord les théoriciens bruts, pétris de démonstrations académiques et d'évidences comparatives. Il y a ensuite les professionnels classiques qui pensent les attitudes, les comportements et les décisions des acteurs. Enfin il y a les diplomates de terrain, confrontés à la réalité des missions. Dorénavant, il est impossible de figer la démarche internationale dans un monde étroit, sectaire et théorique.
L'enseignement des relations internationales devrait revêtir un savant mixage de trois dimensions correspondant aux trois pôles professionnels qui magnifient sa science existentielle. Il y a d'abord les théoriciens bruts, pétris de démonstrations académiques et d'évidences comparatives. Il y a ensuite les professionnels classiques qui pensent les attitudes, les comportements et les décisions des acteurs. Enfin il y a les diplomates de terrain, confrontés à la réalité des missions. Dorénavant, il est impossible de figer la démarche internationale dans un monde étroit, sectaire et théorique.