Au lendemain de la guerre d'Indochine, la France coloniale en a mené deux autres, l'Algérie bien sûr, mais aussi celle qu'il faudra reconnaître un jour sous le nom de "Guerre du Cameroun". Une répression, amorcée en 1955 avec l'interdiction de l'UPC et l'assassinat de Um Nyobé, fait des dizaines de milliers de morts. Après une longue période de clandestinité l'UPC réapparaît sur l'avant-scène au début des années 90, poursuivant le combat toujours actuel d'indépendance nationale.
Au lendemain de la guerre d'Indochine, la France coloniale en a mené deux autres, l'Algérie bien sûr, mais aussi celle qu'il faudra reconnaître un jour sous le nom de "Guerre du Cameroun". Une répression, amorcée en 1955 avec l'interdiction de l'UPC et l'assassinat de Um Nyobé, fait des dizaines de milliers de morts. Après une longue période de clandestinité l'UPC réapparaît sur l'avant-scène au début des années 90, poursuivant le combat toujours actuel d'indépendance nationale.
Au lendemain de la guerre d'Indochine, la France coloniale en a mené deux autres, l'Algérie bien sûr, mais aussi celle qu'il faudra reconnaître un jour sous le nom de "Guerre du Cameroun". Une répression, amorcée en 1955 avec l'interdiction de l'UPC et l'assassinat de Um Nyobé, fait des dizaines de milliers de morts. Après une longue période de clandestinité l'UPC réapparaît sur l'avant-scène au début des années 90, poursuivant le combat toujours actuel d'indépendance nationale.
Au lendemain de la guerre d'Indochine, la France coloniale en a mené deux autres, l'Algérie bien sûr, mais aussi celle qu'il faudra reconnaître un jour sous le nom de "Guerre du Cameroun". Une répression, amorcée en 1955 avec l'interdiction de l'UPC et l'assassinat de Um Nyobé, fait des dizaines de milliers de morts. Après une longue période de clandestinité l'UPC réapparaît sur l'avant-scène au début des années 90, poursuivant le combat toujours actuel d'indépendance nationale.