Les mots nous trompent. Ils ne sont pas l'exacte représentation des objets qu'ils remplacent. Que dire de tout ce qui est intuitif ? La vérité ne peut pas se confondre avec le comment de la vie. La mort est un mot qu'il faut reconsidérer, de même que le silence souvent préférable au cri. Entre l'homme et l'Absolu se situent les autres et le moi oublie trop que ce sont les mots qui l'ont construit.
Les mots nous trompent. Ils ne sont pas l'exacte représentation des objets qu'ils remplacent. Que dire de tout ce qui est intuitif ? La vérité ne peut pas se confondre avec le comment de la vie. La mort est un mot qu'il faut reconsidérer, de même que le silence souvent préférable au cri. Entre l'homme et l'Absolu se situent les autres et le moi oublie trop que ce sont les mots qui l'ont construit.
Les mots nous trompent. Ils ne sont pas l'exacte représentation des objets qu'ils remplacent. Que dire de tout ce qui est intuitif ? La vérité ne peut pas se confondre avec le comment de la vie. La mort est un mot qu'il faut reconsidérer, de même que le silence souvent préférable au cri. Entre l'homme et l'Absolu se situent les autres et le moi oublie trop que ce sont les mots qui l'ont construit.
Les mots nous trompent. Ils ne sont pas l'exacte représentation des objets qu'ils remplacent. Que dire de tout ce qui est intuitif ? La vérité ne peut pas se confondre avec le comment de la vie. La mort est un mot qu'il faut reconsidérer, de même que le silence souvent préférable au cri. Entre l'homme et l'Absolu se situent les autres et le moi oublie trop que ce sont les mots qui l'ont construit.