« Capitale et patrimoine » : si l’association des deux termes pourra paraître aller de soi après la lecture de cet ouvrage, elle n’avait à priori rien d’évident. Elle n’est pas pour autant le produit du télescopage fortuit de termes jusque-là abordés séparément, le patrimoine d’un côté, la capitale de l’autre. Elle ne procède pas davantage, si l’on veut se situer dans la perspective épistémologique qu’elle ouvre, de la volonté d’identifier et d’explorer les zones où se superposent trois champs de recherche : le patrimoine et, corollaire de la question capitulaire, la ville et la politique. Si au final, c’est bien en partie à cette triple inscription que l’on aboutit, l’on ne peut néanmoins s’en réclamer comme d’un point de départ. Plus subtilement, la problématique de cet ouvrage résulte du dialogue de recherches en cours sur le patrimoine qui, d’une manière ou d’une autre avaient déjà à voir avec des villes capitales : Québec, Montréal, Tunis.
« Capitale et patrimoine » : si l’association des deux termes pourra paraître aller de soi après la lecture de cet ouvrage, elle n’avait à priori rien d’évident. Elle n’est pas pour autant le produit du télescopage fortuit de termes jusque-là abordés séparément, le patrimoine d’un côté, la capitale de l’autre. Elle ne procède pas davantage, si l’on veut se situer dans la perspective épistémologique qu’elle ouvre, de la volonté d’identifier et d’explorer les zones où se superposent trois champs de recherche : le patrimoine et, corollaire de la question capitulaire, la ville et la politique. Si au final, c’est bien en partie à cette triple inscription que l’on aboutit, l’on ne peut néanmoins s’en réclamer comme d’un point de départ. Plus subtilement, la problématique de cet ouvrage résulte du dialogue de recherches en cours sur le patrimoine qui, d’une manière ou d’une autre avaient déjà à voir avec des villes capitales : Québec, Montréal, Tunis.