En montrant comment la domination subie par les Indiens mayas les reproduit dans leur ethnicité, en manifestant le lien qui unit la culture indienne et les modalités spécifiques de l'exploitation dont ils sont victimes, cet ouvrage rompt avec l'historicisme et le culturalisme ambiants. Il établit les fondements d'une théorie relationnelle de l'indianité en totale opposition avec les conceptions ontologisantes de l'Indien sur lesquelles est fondée une certaine littrérature.