Chrétien de Troyes, dans ses cinq "romans" -Erec et Enide, Cligès ou la fausse morte, Le chevalier de la charrette, Le chevalier au lion, Le Conte du Graal-, dessine la figure d'un roi derrière laquelle se devine celle du Capétien, Louis VII. Si le "trouvère" Chrétien de Troyes est considéré comme le père de la littérature européenne, comme en témoignent les travaux qui lui sont consacrés de par le monde, il peut aussi être tenu pour un fin connaisseur des institutions capétiennes qui expriment, en cette seconde moitié du XIIème siècle, l'affirmation de la puissance royale et de la souveraineté retrouvées.
Chrétien de Troyes, dans ses cinq "romans" -Erec et Enide, Cligès ou la fausse morte, Le chevalier de la charrette, Le chevalier au lion, Le Conte du Graal-, dessine la figure d'un roi derrière laquelle se devine celle du Capétien, Louis VII. Si le "trouvère" Chrétien de Troyes est considéré comme le père de la littérature européenne, comme en témoignent les travaux qui lui sont consacrés de par le monde, il peut aussi être tenu pour un fin connaisseur des institutions capétiennes qui expriment, en cette seconde moitié du XIIème siècle, l'affirmation de la puissance royale et de la souveraineté retrouvées.