La question du mal serait assez simple si la science pouvait y répondre. Le mal est à comprendre ; entendons : il intéresse la philosophie. Si dans le projet de compréhension du mal déployé dans ce livre, l'Inquisition et la Shoah sont convoquées, c'est parce qu'elles offrent l'une et l'autre à observer et à penser le mal jusqu'à ses principes les plus fondamentaux. Il s'agit de proposer une compréhension évitant les simplifications de l'analyse et rendant compte de l'extrême complexité du sujet.
La question du mal serait assez simple si la science pouvait y répondre. Le mal est à comprendre ; entendons : il intéresse la philosophie. Si dans le projet de compréhension du mal déployé dans ce livre, l'Inquisition et la Shoah sont convoquées, c'est parce qu'elles offrent l'une et l'autre à observer et à penser le mal jusqu'à ses principes les plus fondamentaux. Il s'agit de proposer une compréhension évitant les simplifications de l'analyse et rendant compte de l'extrême complexité du sujet.
La question du mal serait assez simple si la science pouvait y répondre. Le mal est à comprendre ; entendons : il intéresse la philosophie. Si dans le projet de compréhension du mal déployé dans ce livre, l'Inquisition et la Shoah sont convoquées, c'est parce qu'elles offrent l'une et l'autre à observer et à penser le mal jusqu'à ses principes les plus fondamentaux. Il s'agit de proposer une compréhension évitant les simplifications de l'analyse et rendant compte de l'extrême complexité du sujet.
La question du mal serait assez simple si la science pouvait y répondre. Le mal est à comprendre ; entendons : il intéresse la philosophie. Si dans le projet de compréhension du mal déployé dans ce livre, l'Inquisition et la Shoah sont convoquées, c'est parce qu'elles offrent l'une et l'autre à observer et à penser le mal jusqu'à ses principes les plus fondamentaux. Il s'agit de proposer une compréhension évitant les simplifications de l'analyse et rendant compte de l'extrême complexité du sujet.