L'hôpital psychiatrique, monde inquiétant que l'auteure nous invite à pénétrer, est présenté de l'intérieur, du véritable intérieur; pas celui des murs, mais celui des êtres qui l'habitent. Et chose étrange, on se surprend presque à envier ces derniers. Certains y ont été placés de force par leur famille; d'autres vont et viennent pour y faire des sortes de haltes afin de pouvoir retourner dans le monde extérieur et mieux l'affronter: d'autres encore y ont vu le jour.
Sont-ils fous, ne le sont-ils pas? Cela importe peu. Ce sont des humains et qui plus est, très attachants. Le narrateur et personnage principal, dont on ignore le nom, autre détail sans importance, nous parle d'eux, de leur histoire. « J'aime le sens », ose-t-il affirmer dans cet univers insensé.
Dans son récit d'une grande sensibilité, l'auteure réussit à mettre en lumière la face humaine d'une réalité que l'on s'efforce, la plupart du temps, de dénoncer, pire, d'oublier.
L'hôpital psychiatrique, monde inquiétant que l'auteure nous invite à pénétrer, est présenté de l'intérieur, du véritable intérieur; pas celui des murs, mais celui des êtres qui l'habitent. Et chose étrange, on se surprend presque à envier ces derniers. Certains y ont été placés de force par leur famille; d'autres vont et viennent pour y faire des sortes de haltes afin de pouvoir retourner dans le monde extérieur et mieux l'affronter: d'autres encore y ont vu le jour.
Sont-ils fous, ne le sont-ils pas? Cela importe peu. Ce sont des humains et qui plus est, très attachants. Le narrateur et personnage principal, dont on ignore le nom, autre détail sans importance, nous parle d'eux, de leur histoire. « J'aime le sens », ose-t-il affirmer dans cet univers insensé.
Dans son récit d'une grande sensibilité, l'auteure réussit à mettre en lumière la face humaine d'une réalité que l'on s'efforce, la plupart du temps, de dénoncer, pire, d'oublier.
L'hôpital psychiatrique, monde inquiétant que l'auteure nous invite à pénétrer, est présenté de l'intérieur, du véritable intérieur; pas celui des murs, mais celui des êtres qui l'habitent. Et chose étrange, on se surprend presque à envier ces derniers. Certains y ont été placés de force par leur famille; d'autres vont et viennent pour y faire des sortes de haltes afin de pouvoir retourner dans le monde extérieur et mieux l'affronter: d'autres encore y ont vu le jour.
Sont-ils fous, ne le sont-ils pas? Cela importe peu. Ce sont des humains et qui plus est, très attachants. Le narrateur et personnage principal, dont on ignore le nom, autre détail sans importance, nous parle d'eux, de leur histoire. « J'aime le sens », ose-t-il affirmer dans cet univers insensé.
Dans son récit d'une grande sensibilité, l'auteure réussit à mettre en lumière la face humaine d'une réalité que l'on s'efforce, la plupart du temps, de dénoncer, pire, d'oublier.
L'hôpital psychiatrique, monde inquiétant que l'auteure nous invite à pénétrer, est présenté de l'intérieur, du véritable intérieur; pas celui des murs, mais celui des êtres qui l'habitent. Et chose étrange, on se surprend presque à envier ces derniers. Certains y ont été placés de force par leur famille; d'autres vont et viennent pour y faire des sortes de haltes afin de pouvoir retourner dans le monde extérieur et mieux l'affronter: d'autres encore y ont vu le jour.
Sont-ils fous, ne le sont-ils pas? Cela importe peu. Ce sont des humains et qui plus est, très attachants. Le narrateur et personnage principal, dont on ignore le nom, autre détail sans importance, nous parle d'eux, de leur histoire. « J'aime le sens », ose-t-il affirmer dans cet univers insensé.
Dans son récit d'une grande sensibilité, l'auteure réussit à mettre en lumière la face humaine d'une réalité que l'on s'efforce, la plupart du temps, de dénoncer, pire, d'oublier.