Des photographies des toits de Paris évoquant la frénésie qui découle de la densité de population et de l'activité urbaine. Pour traduire en images la congestion de la ville, le photographe juxtapose, superpose ou incruste ses prises de vue d'ensembles architecturaux, d'axes de circulation et de personnes, selon une approche rappelant le cubisme par son rendu proche de l'abstraction.